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Strange New Worlds (S2x05)

Spock

Avec ce 5ème épisode nous sommes déjà à la moitié de la saison 2 et visiblement cela semble devenir une tradition de consacrer le milieu de la saison à la vie sentimentale de Spock. Pourtant STAR TREK a longtemps été un métissage très réussi d’histoires basées sur les personnages et sur l’aventure avec un grand A. Alors, est ce que comme avec Spock dans cet épisode, les scénarios ont perdu ce métissage ?

On en parle avec notre Lieutenant Bajorane Marina, notre expert Romain Nigita, l’ingénieure en cheffe Yasmine et le commander Guigui. Et en fin de podcast, vous entendez le journal de bord de Giraffe.

Musique de fin : Générique de Jeff Russo

Et vous ? Qu’avez-vous pensé de l’épisode ?

7 commentaires sur “Strange New Worlds (S2x05)”

  1. Je n’ai pas encore vu la saison 2 mais j’ai écouté toutes les émissions malgré tout. Je ne sais pas si je regarderai la série de toutes façons… Pour la partie sur le métissage, en étant un moi-même, c’est une condition qui n’est en général pas très bien gérée… Notamment parce que le métissage est divers et qu’il parle d’histoire avec un grand H et souvent de conflits de civilisations. Du coup, il y a des cicatrices dans tous les camps qui restent et qui influent sur les comportements de chacun. De l’autre côté, quand le métisse vit dans la société qui est celle qui a brimé une partie de ses ancêtres, pour cette société, l’oscillation entre le voeux de se faire pardonner et au contraire le rejet de mauvais souvenirs enfouis, rend ces représentations assez difficilement réaliste…

    Je ne suis pas si je suis très clair… Je pourrais développer si besoin. Mais psychologiquement, il existe des études qui parlent de 3 phases que traverse un métis. 1 il se conforme à la culture dominante, 2 il l’a rejette au profit de la non dominante, 3 il crée une toute nouvelle identité originale.

    Aux Etats Unis, des études ont été faîtes et notamment, le taux de dépression et de mal être est bcp plus fort que les autres populations. Avec pas mal de choses qui développent les 3 points susdits. En France il n’y a pas d’études ethniques a l’américaine et la France n’est pas l’amérique, donc il faut raison garder.

    Cependant, ça permet de se faire une idée un peu plus robuste.

    Quelques persos ou je trouve que la sensation d’être avec un vrai métis on a le blade des films, le namor de certains comics, le Hellboy des films aussi.

  2. Que dire de plus que vous êtes génial tout autant que votre podcast, c est toujours un vrai plaisir de vous spoiler … heu je voulais dire de vous écouter 😂 continuez comme cela 😀👍 a quand un crossover entre le quadrant pop , remi , cyril et miko ? Sa serait vraiment génial en vrai .

  3. Bonjour à tous,
    Alexandre Dumas a dit : « On peut violer l’histoire à condition de lui faire de beaux enfants ».
    Est-ce le cas dans cet épisode ?
    On peut en douter tant les émotions humaines et la vulcanité sont caricaturées. Alors quitte à trahir, autant y aller à fond. L’épisode aurait pu être vraiment drôle s’il avait été pris le parti pris d’en faire un remake d’Oscar (avec Louis de Funès) à la sauce trekkienne. Il aurait été bien plus amusant de voir Spock vivre un dîner difficile avec sa future belle famille tout en recherchant en même temps le sérum perdu dans le vaisseau. Le voir entrer, le voir sortir, plusieurs fois, de multiple manières, avec ou sans téléportation… Autant aller jusqu’au bout du délire car, en s’attachant à la globalité du canon, le Spock-Nimoy n’aurait jamais pu vivre cette expérience d’humanité (prepubere) « renforcée ». A voir aussi comment nos scénaristes vont se dépêtrer de la relation Spock-Chapel, qui n’a jamais été autre chose qu’un rêve éveillé de l’infirmière-chef jusqu’à présent, et comment Roger Korby sera introduit dans l’intrigue. Mention spéciale à Mia Kirschner, excellente en mère de Spock.

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